Publié dans Société

Invention d’un urinoir mural qui permet aux femmes de faire pipi debout

Les hommes ont cette chance de pouvoir uriner debout simplement en descendant leur braguette, contre un arbre, dans un urinoir, ou en pleine nature… Pour les femmes, c’est une autre histoire, elles doivent se cacher, baisser leur pantalon ou soulever leur jupe et espérer qu’aucun malotru ne les observe. Dans les toilettes publiques, elles ont souvent droit à des cuvettes sales, sur lesquelles elles doivent se contorsionner pour ne pas les toucher, tout en faisant leurs besoins. Chez Tom Rafting, une entreprise de sport d’eaux vives basée à Villelongue près d’Argelès-Gazost, les femmes peuvent désormais profiter d’Isis. Cette invention alsacienne va révolutionner les toilettes et c’est génial !

L’urinoir debout pour femme a été mis en service pour la première fois dans les locaux de Tom Rafting. Crédit photo : Tom Rafting

L’idée d’inventer un urinoir sec pour femmes en position debout est née de l’inspiration de Jean-Marie Fischer. Son objectif, créer un objet esthétiquement réussi tout en étant respectueux de l’environnement et procurant une solution sanitaire performante. L’urinoir « Isis », a été conçu avec une membrane protectrice qui empêche toute diffusion d’odeurs, assurant ainsi une expérience d’utilisation confortable et discrète. Il a été placé à une hauteur optimale entre les cuisses, évitant de cette façon le besoin de descendre le pantalon jusqu’aux chevilles. Pour l’utiliser, il suffit de baisser son pantalon jusqu’aux cuisses, puis de le glisser sous l’urinoir, de faire sa petite affaire, le papier toilette est ensuite déposé dans une poubelle disposée juste à côté.

Publié dans Santé

Connaissez-vous la véritable utilité de la petite poche de votre culotte ?

Dans les culottes des femmes, il existe une petite poche secrète qui se situe à l’entrejambe… Et cette petite poche a une réelle utilité que la corneille s’empresse de vous dévoiler…

Le vagin se nettoie tout seul de l’intérieur… Mais l’humain a décidé d’inventer les sous-vêtements. Et les sous-vêtements ne sont pas qu’esthétiques, ils ont aussi une utilité dans la protection de ce précieux organe féminin ! La petite poche cousue généralement par-dessus le tissu externe de la culotte va absorber ce qui s’écoule de l’organe… Pas très ragoutant on vous l’accorde, mais la nature c’est la nature ! 

En absorbant les sécrétions et la transpiration de cette zone intime, la poche va empêcher la prolifération de champignons et bactéries, donc le développement de mycoses. Accessoirement, cela permet également de conserver votre joli tailleur propre à l’entrejambe… Et d’éviter le contact direct avec la zone pubienne. Une petite poche que l’on appelle Gousset et qui, a donc bien une véritable utilité pour ces parties intimes… Voilà donc pourquoi, messieurs, vos caleçons sont dépourvus de poche. Pas de vagin, pas de culotte, pas de gousset, on ne peut pas tout avoir !

Publié dans cryptomonnaie

Mon intérêt pour Fluence

Belle musique pour FLT (FLUENCE) 71 millions en capitalisation boursière et une offre max d’ 1 milliard de jetons . La plateforme Fluence DePIN libère le calcul des cloud centralisés en offrant un calcul nativement décentralisé, peu coûteux et vérifiable.

Ceci n’est pas un conseil en investissements (bien sûr) !

Publié dans Cinéma

La « beauty », secret de cinéma.

De nombreuses actrices demandent aujourd’hui que soit inscrit dans leur contrat qu’il y aura une passe « beauty » sur le film. Ce n’est pas nouveau, mais que ce soit contractualisé et qu’il y ait des logiciels qui permettent manifestement d’automatiser le travail. Suivez plus bas le travail de Xavier de la Porte en écoutant son podcast…

Je sors du dernier Mission Impossible et un peu hasard, me retrouve à dîner avec deux copines, et une productrice de cinéma que je ne connais pas. On discute du film qu’on vient tous de voir, et du visage de Tom Cruise, qui, décidément, ne ressemble plus à rien. Et la productrice fort sympathique se marre en disant “ils ont dû un peu trop insister sur la passe beauty”. “La quoi ?” lui demande-t-on de concert. “La passe beauty ! Vous ne connaissez pas la passe beauty ?” “Ben non, on connaît pas. C’est quoi ?” Et là elle nous explique “Ce sont des logiciels qui depuis quelques années permettent de travailler les visages super finement. Aujourd’hui, plein d’actrices demandent à ce que soit inscrit dans leur contrat qu’il y aura une passe beauty sur le film. Au début, c’était aux Etats-Unis, mais c’est devenu un vrai truc en France aussi.” Et elle nous raconte quelques secrets du milieu : une telle qui exige systématiquement que soit modifié son nez, l’autre que soit effacée une cicatrice etc.

Bon, j’avoue que je suis un peu tombé des nues.

Pas d’apprendre que les visages sont modifiés au cinéma, ça, c’est pas nouveau ; mais que ce soit contractualisé, qu’il y ait des logiciels qui permettent manifestement d’automatiser le travail, ça j’ignorais. Et j’ai trouvé assez marrant que le cinéma qui aime autant exhiber ses prouesses techniques soit aussi peu bavard sur ces outils qui rendent les gens plus beaux. Je me suis dit que ça cachait forcément quelque chose. Oh, pas un énorme secret bien sûr, mais sans doute une gêne. Parce que, d’après ce que je comprends, ce sont avant tout les actrices qui sont concernées. Et les actrices à partir d’un certain âge qui plus est. Ce qui, par les temps qui courent, n’est pas glorieux.

Tout ça m’a trotté dans la tête. D’autant que quelques jours après ce dîner, une des copines m’a envoyé la capture d’écran d’une page de livre. Un livre d’entretien entre la réalisatrice Catherine Breillat et une super critique de cinéma qui s’appelle Muriel Joudet. A la fin du livre, toutes les deux discutent du dernier film de Breillat, sorti en 2023 et qui s’intiule “L’été dernier”. Il raconte une histoire d’amour passionnée et scandaleuse entre un très jeune garçon et sa belle-mère. La belle-mère est jouée par Léa Drucker. Et voici l’extrait d’entretien que m’a envoyé ma copine. C’est Catherine Breillat qui parle : “Il y avait une autre actrice qui voulait jouer dans le film, mais elle était trop jeune, trop guillerette. Pour le rôle, il fallait ce truc, cette overdose de l’âge qui rend Léa si touchante. J’ai arraché tous les beauty masks qu’on met habituellement à l’étalonnage pour lisser les traits des actrices ad aeternam. Les étalonneurs le font par routine et, soi-disant, ça ne prend pas les yeux, mais ça efface les pores de la peau. En tant que spectateur, même si on ne sait pas qu’on sent la peau respirer, on le ressent, et ces masques enlèvent de l’émotion, même à un niveau infinitésimal. L’âpreté du visage, les rides, tout cela ajoute à la beauté..”

En lisant ce passage, je me suis dit que c’était compliqué tout ça. La “beauty”, ça n’a pas l’air d’être seulement une injonction sociétale qui descend dans le cinéma ou la manifestation d’une névrose d’actrice. Il y a de ça, sans doute, mais s’y mêlent les impératifs pas forcément convergents des différentes personnes qui participent au film, des questions esthétiques et narratives, de questions de réception aussi. Et au coeur du problème, il y a la technologie numérique, parce que c’est elle qui offre ces possibilités.

Podcast de Xavier, Le code a changé

Publié dans cryptomonnaie

AIRDROP à venir : VENOM

Profitez de l’airdrop à venir en remplissant quelques tâches sur le testnet ici : https://venom.network/

Vous pouvez suivre sur youtube Inspecteur Crypto qui vous aidera à accomplir les missions.

Guide testnet

La mission VENOM est de construire une Blockchain qui fonctionnera comme l’infrastructure principale d’un écosystème mondial d’applications Web3, possédant des vitesses de transaction ultra-rapides et une évolutivité infinie pour répondre aux demandes d’une base d’utilisateurs en constante expansion.

Venom Blockchain est construit sur la machine virtuelle threadée (TVM). TVM fournit un moyen très efficace et évolutif de gérer les interactions de compte dans la blockchain Venom. En utilisant le modèle Actor, TVM peut isoler et paralléliser les acteurs, permettant ainsi une gestion efficace de systèmes distribués complexes. Cela permet au protocole de partitionnement dynamique de regrouper davantage les comptes en fragments, améliorant ainsi l’efficacité et permettant l’exécution des contrats en mode asynchrone.

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Analyse des répercussions potentielles des ETF Bitcoin Spot dans l’univers crypto

Points clés à retenir

  • Les fonds négociés en bourse (ETF) en Bitcoin permettent aux investisseurs d’accéder en toute sécurité aux cryptomonnaies sans avoir à gérer directement leurs actifs numériques. La possible approbation des ETF Bitcoin Spot par les régulateurs américains a suscité un optimisme grandissant ces derniers mois.
  • Un ETF Bitcoin Spot réglementé aux États-Unis pourrait potentiellement améliorer l’accessibilité, la liquidité, la demande et le cours du BTC, mais une telle innovation serait aussi source de coûts supplémentaires.
  • Idéalement, l’investissement direct en BTC coexisterait avec divers instruments réglementés, ce qui permettrait d’adopter des stratégies diverses et de répondre aux différents besoins des investisseurs.

Un fonds négocié en bourse (ETF) Bitcoin est un instrument financier qui offre une exposition sûre et réglementée aux cryptomonnaies tout en évitant aux utilisateurs de devoir gérer directement leurs BTC. Des produits similaires existent déjà au Canada et en Europe, et les investisseurs américains peuvent acheter des ETF qui suivent le cours des contrats Futures en Bitcoin depuis 2021. Une idée a cependant pris racine : un ETF réglementé aux États-Unis comprenant des Bitcoins « physiques » (plus communément appelés ETF Bitcoin Spot) pourrait réellement changer la donne dans le secteur.

Sur le papier, l’évolution encourageante de la réglementation américaine a contribué à alimenter l’optimisme des investisseurs ces derniers mois. De nombreux observateurs pensent qu’un tournant se profile à l’horizon : les investisseurs crypto doivent donc s’assurer de maîtriser les concepts clés et de bien connaître les scénarios potentiels que l’arrivée d’un ETF Bitcoin Spot réglementé pourrait déclencher.

Définitions clés

Un ETF est un type de produit financier qui suit le cours d’un actif, d’un indice ou d’un panier d’actifs spécifique, et qui est acheté et vendu en bourse. En règle générale, les ETF constituent un moyen d’investir dans plusieurs actifs tout en disposant de la flexibilité nécessaire pour trader sur une plateforme d’échange crypto ; ils sont donc souvent utilisés par les traders pour diversifier leur exposition au marché.

Deux principaux types d’ETF BTC ont émergé suite à l’avènement des cryptos : les ETF Futures et les ETF Spot. Un ETF BTC Futures investit dans des contrats pariant sur le futur cours du BTC et offre une exposition à ses fluctuations sans détenir le token lui-même. Un ETF BTC Spot doit détenir l’actif sous-jacent et reflète son cours avec davantage d’exactitude, ce qui rapproche la possession de ses actions à celle de BTC. Nous vous invitons à lire cet article sur Binance Academy pour une comparaison plus détaillée des deux ETF.

Les fiducies (“trusts”) de Bitcoins sont d’autres instruments financiers quelque peu similaires, mais qui diffèrent de par leur structure et leur fonctionnement. Une fiducie agit davantage comme un fonds d’investissement classique et détient de véritables BTC, avec les investisseurs possédant des actions qui représentent une partie du pool d’actifs numériques détenu par la fiducie. Contrairement aux ETF, les fiducies sont soumises à des primes ou à des escomptes, ce qui signifie que le prix d’une action peut s’écarter considérablement de la valeur du BTC sous-jacent qu’elle représente.

Lancé en 2015, Grayscale Bitcoin Trust (GBTC) aspire à devenir le premier fonds Bitcoin coté en bourse aux États-Unis. La demande de Grayscale pour faire du GBTC un ETF Spot est toujours en cours d’examen par la Securities and Exchange Commission (SEC) à l’heure d’écrire ces lignes (début décembre 2023). Le premier ETF Bitcoin Futures a été lancé sur le New York Stock Exchange Arca en octobre 2021, et plusieurs produits de ce type sont maintenant proposés aux investisseurs américains. De tous les instruments décrits dans cette section, seuls les ETF Bitcoin Spot restent indisponibles, bien que beaucoup pensent que cela pourrait bientôt changer.

Obtenir l’approbation de la SEC

La première des nombreuses demandes d’ETF BTC Spot a été présentée à la SEC en 2013. L’organisme a d’abord mis en avant plusieurs conditions pour obtenir son approbation, notamment la réglementation correcte des marchés liés au Bitcoin et la signature d’accords de partage de surveillance pour éviter la fraude et la manipulation du marché. Au cours des années qui ont suivi, plusieurs entreprises ont révisé leurs demandes ; malheureusement, aucune de ces tentatives n’a porté ses fruits, et les demandes ont toutes été soit refusées en raison de préoccupations persistantes, soit retirées, puisqu’un refus était inévitable.

La situation a cependant commencé à changer en 2023. Les décisions de la SEC ont mené de nombreuses entreprises à s’interroger sur leur bien-fondé : pourquoi les ETF Bitcoin Futures sont-ils autorisés, et pas les ETF Bitcoin Spot ? En août, les tribunaux américains ont semblé aller dans ce sens lorsque le juge présidant l’affaire opposant Grayscale à la SEC s’est prononcé en faveur de Grayscale, exigeant que la SEC réexamine sa décision de refuser la conversion du GBTC en ETF Spot et jugeant les différences de traitement « arbitraires et capricieuses ».

Une autre étape importante a été franchie en juin lorsque BlackRock, le plus grand gestionnaire d’actifs au monde, a déposé à son tour une demande d’ETF Bitcoin Spot. Sa proposition comprenait des accords de partage de la surveillance pour empêcher la fraude et la manipulation du marché afin de potentiellement apaiser les principales inquiétudes de la SEC. Associée à l’excellent bilan de BlackRock en matière d’approbation de demandes d’ETF, cette dynamique a encouragé d’autres entreprises à faire de même.

Tous ces développements ont alimenté l’optimisme sur le marché en automne 2023, et une vague d’entreprises ont redéposé des demandes précédemment rejetées. Les pressions déflationnistes attendues suite au prochain halving de 2024 ont renforcé ce sentiment positif, et les acteurs du marché surveillent attentivement les premiers signes d’une percée alors que les événements suivent leurs cours.

Effets potentiels

De nombreux investisseurs s’interrogent sur les répercussions d’un éventuel ETF Bitcoin Spot américain sur les marchés financiers classiques et crypto, et dans l’univers de la blockchain de manière générale. Bien que celles-ci puissent être difficiles à déterminer, une telle innovation pourrait avoir une influence non négligeable sur le cours du Bitcoin, la demande en actifs numériques, la liquidité et l’adoption. Surtout, les plus optimistes s’attendent à ce que l’approbation des ETF Bitcoin Spot stimule encore plus l’adoption et l’innovation dans le milieu : la légitimation et l’accessibilité d’un ETF attireraient des investisseurs crypto potentiellement plus nombreux et aux profils plus variés. Bien que ces effets soient probables, leur ampleur reste difficile à anticiper.

Le cas historique des ETF sur l’or mérite d’être passé en revue dans ce contexte, même s’il serait déraisonnable de s’attendre à ce que les ETF BTC Spot aient des effets similaires. Tout comme le Bitcoin, le grand public peut difficilement accéder à l’or : des efforts et des ressources spécifiques sont requis pour acheter et stocker directement ces deux actifs. SPDR Gold Shares (GLD), le premier ETF sur l’or en termes d’actifs gérés, a été lancé en 2004 et a rapidement accumulé des actifs d’une valeur totale s’élevant à plus d’un milliard $, un chiffre qui a dépassé les 50 milliards $ en 2010.

En renonçant à la propriété directe de l’actif sous-jacent, les ETF sont plus accessibles et permettent à un plus large éventail d’investisseurs de s’exposer à celui-ci, pour en retour augmenter la demande et la liquidité de l’actif. La montée en puissance des ETF sur l’or a marqué un tournant significatif dans la dynamique de trading de cette ressource, avec une accessibilité accrue qui débouche sur une hausse des volumes et de la liquidité du marché.

L’arrivée d’un ETF Bitcoin Spot aux États-Unis pourrait générer des avantages similaires et peut-être même ouvrir la voie à une nouvelle ère d’adoption et d’innovation. Bien que le Bitcoin soit souvent considéré comme le pendant numérique de l’or, il est impossible de s’appuyer sur l’historique d’un actif pour prévoir l’avenir d’un autre. Nous pouvons toutefois établir des parallèles pour nous faire une idée des effets potentiels : examinons plus en détail les avantages et les inconvénients d’un ETF Bitcoin Spot aux États-Unis.

Comme pour les ETF sur l’or, une accessibilité accrue pourrait introduire une nouvelle vague d’adoption, augmentant potentiellement le prix, la demande et la liquidité du Bitcoin. En outre, cette hausse de la liquidité et de la diversification des investisseurs pourraient contribuer à stabiliser la volatilité des prix du Bitcoin, ce qui améliorerait la fluidité du marché, sa prévisibilité et la confiance accordée par les investisseurs dans l’actif.

Au-delà de la dynamique du marché du BTC, l’approbation d’un ETF Bitcoin Spot aux États-Unis pourrait constituer un signe de la légitimation du secteur crypto et signifier une acceptation, une crédibilité et une maturité plus importantes qui pourraient amplifier elles aussi l’innovation et l’adoption.

Un ETF Spot s’accompagnerait d’une surveillance réglementaire et d’une transparence accrues grâce à des rapports normalisés qui renforceraient la sécurité et réduiraient le risque de fraude ou de vol. Le secteur crypto gagnerait ainsi en crédibilité dans le monde financier de manière générale et donnerait confiance à un public plus large.

Inconvénients et risques

Malgré l’optimise ambiant vis-à-vis des approbations potentielles des ETF BTC Spot aux États-Unis, ceux-ci présentent des risques et des inconvénients qui ne doivent pas être passés sous silence. Tout d’abord, la suppression de la propriété directe de Bitcoins empêcherait les investisseurs de participer à l’écosystème BTC et de profiter des avantages offerts par la possession d’un actif numérique décentralisé. 

Les ETF pourraient aussi être sources de coûts supplémentaires pour les investisseurs en cryptos, qui devraient alors s’acquitter de frais de gestion probablement supérieurs aux coûts de détention directe de Bitcoins. Néanmoins, de nombreux investisseurs devraient être prêts à accepter ces désavantages en contrepartie de la tranquillité d’esprit qu’offrent les ETF.

De manière générale, le marché crypto est moins prévisible que les marchés financiers plus classiques : les ETF ayant vocation à suivre les mouvements de cours de leurs actifs sous-jacents, cette volatilité se refléterait également dans le prix d’un ETF Bitcoin Spot. En outre, le cours de l’ETF peut s’écarter de celui du Bitcoin en raison des forces du marché ou de problèmes administratifs, ce qui pourrait déboucher sur une surévaluation ou une sous-évaluation de l’ETF par rapport au Bitcoin. 

Enfin, l’arrivée d’un ETF Bitcoin Spot lierait encore plus étroitement le BTC à la réglementation, ce qui rendrait le marché plus sensible aux décisions politiques : des mesures réglementaires défavorables pourraient nuire à la valeur de l’ETF, et ainsi faire baisser le cours du Bitcoin.

Conclusion

Un ETF Bitcoin Spot réglementé aux États-Unis pourrait avoir une influence significative sur le secteur crypto et le monde financier de manière plus générale en stimulant potentiellement l’adoption, la crédibilité, l’innovation et la clarté réglementaire. Cette avancée simplifierait l’accès aux marchés crypto et permettrait même aux investisseurs moins doués en technologie de s’exposer aux fluctuations des prix du BTC sans devoir composer avec la complexité de la gestion du token lui-même. Cependant, comme pour tout instrument d’investissement émergent, il ne faut pas ignorer les inconvénients et les risques potentiels qu’il représente.

Dans un scénario idéal, les ETF Bitcoin Spot deviendraient de nouveaux canaux d’investissement crypto. Il est probable que l’investissement direct dans le BTC et dans les divers instruments réglementés coexistera et donnera lieu à différentes stratégies d’investissement pour répondre à des préférences et des profils de risque variés. L’avènement des ETF Bitcoin Spot réglementés aux États-Unis marquera le début d’une nouvelle ère passionnante d’adoption et de légitimité, non seulement pour le Bitcoin, mais aussi pour l’univers crypto dans son ensemble.

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Tous les ETF spot Bitcoin approuvés

Dans un contexte de confusion suite à la fausse annonce sur le compte X de la SEC, une excellente nouvelle se profile. Effectivement, les ETF Bitcoin ont été approuvés, bien que l’annonce officielle soit prévue plus tard.

C’est Éric Balchunas, analyste ETF senior chez Bloomberg, qui l’annonce sur son compte X (Twitter).

« Bonne journée d’approbation de l’ETF (pour de vrai cette fois) à tous ceux qui célèbrent. Pour autant que nous sachions, c’est TOUS LES SYSTÈMES GO.« 

Selon lui, les approbations formelles des ETF Bitcoin seront annoncées entre 16 h et 18 h (heure du New Jersey) aujourd’hui, soit entre 22 h et minuit, heure de France.

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Un village africain mine le Bitcoin

Bondo est un groupe dispersé de villages dans une région reculée du Malawi, près de la frontière avec le Mozambique. Il est situé au pied du mont Mulanje, où les habitants dépendent de leurs pieds pour se déplacer et de quelques récoltes pour nourrir leurs familles. Pourtant, contrairement à la plupart des endroits de ce pays pauvre, lorsque la nuit tombe, ils peuvent désormais allumer les lumières, les poêles et les téléviseurs dans leurs maisons.

Car l’électricité est arrivée à Bondo. Trois turbines ont été installées dans un projet micro-hydroélectrique exploitant les précipitations de la région fertile. Et l’impact a changé la vie des 1 800 foyers jusqu’à présent connectés à un mini-réseau. Les enfants peuvent étudier la nuit tombée et ont donc désormais plus de chances de réussir les examens de l’école secondaire plutôt que de devoir les quitter à l’âge de 11 ans. Les médicaments et la nourriture peuvent être conservés dans des réfrigérateurs, de sorte que les villageois n’ont pas à parcourir les 19 kilomètres jusqu’à l’école secondaire. L’hôpital peut produire des lots de nourriture ou de boissons à vendre au marché. La préparation du repas du soir est trois fois plus rapide – et beaucoup moins destructrice pour l’environnement – sans qu’il soit nécessaire de ramasser du bois de chauffage.

Un groupe de femmes a ri lorsque je leur ai demandé si elles avaient une télévision et regardaient le football chez elles. « Avant, nos maris disaient qu’ils allaient regarder le football alors qu’en réalité ils sortaient avec d’autres femmes. Désormais, ils ne peuvent plus prétendre qu’ils partent jouer au football », m’a dit Bertha. Le chef principal m’a dit qu’ils n’avaient jamais rêvé d’alimenter en énergie les villages, avec une douzaine de moulins à maïs, de nombreuses petites entreprises, des écoles, des magasins et des églises également connectés au réseau. « Quand vous vous déplacez à Bondo, vous voyez des gens heureux – et c’est grâce à l’électricité. »

Mais la grande surprise de Bondo n’est pas simplement l’approvisionnement en énergie d’une communauté aussi isolée, dans un pays où seulement un citoyen sur huit a accès au réseau électrique et sur un continent où près de la moitié des 1,2 milliard d’habitants ne disposent toujours pas de cette énergie qui change leur vie. fournir. La véritable révélation est la pile de 32 ordinateurs à l’intérieur du hangar des pompes à béton. Ce mini réseau innovant – situé à plus de deux heures de Blantyre, deuxième ville du Malawi, le long de routes cahoteuses et de pistes qui peuvent devenir impraticables en cas de pluie torrentielle – exploite Bitcoin pour financer son fonctionnement.

C’est une idée intelligente. Les ordinateurs utilisés pour créer de nouveaux jetons Bitcoin précieux et valider les transactions consomment à peu près la même quantité d’énergie que celle générée par un pays de taille moyenne comme la Suède. D’où la critique cinglante de la manière dont cette cryptomonnaie gaspille les précieuses ressources de la planète. Cette initiative renverse ce discours en utilisant l’exploitation minière de Bitcoin pour financer l’énergie dans des régions d’Afrique trop pauvres ou trop éloignées pour mériter une connexion aux réseaux, mais qui disposent d’abondantes sources d’énergie potentielles. L’exploitation minière absorbe l’excédent d’énergie de ces centrales renouvelables. Et cela ne fournit pas seulement de l’électricité, mais aussi un puissant coup de pouce pour stimuler le développement de l’économie locale.

Le concept vient d’une société kenyane, Gridless, créée en 2022, qui compte parmi ses soutiens le fondateur de Twitter, Jack Dorsey. Il existe quatre autres sites au Kenya et en Zambie et des dizaines d’autres sont prévus à travers le continent. Son objectif est de démontrer comment l’Afrique pourrait jouer un rôle central pour contrer la croyance conventionnelle selon laquelle le Bitcoin, aujourd’hui vieux de 15 ans, est utilisé simplement à des fins de spéculation risquée et de transactions douteuses. Au lieu de cela, il soutient ceux qui prétendent qu’il conduira à des systèmes financiers plus inclusifs en usurpant le contrôle de gouvernements dysfonctionnels et de banques centrales manipulatrices.

Cela libérera également la communauté de la dépendance aux aides étrangères pour survivre. Les centrales électriques de Bondo ont été construites par Mount Mulanje Conservation Trust, un groupe local qui tente de protéger la biodiversité unique de la région montagneuse, et ont été initialement soutenues par des financements d’agences d’aide et de développement – mais Bitcoin couvre désormais les coûts de fonctionnement. Cela offre une incitation commerciale qui ne repose pas sur l’altruisme ou les subventions pour fournir de l’électricité aux régions éloignées, tout en exploitant le gaspillage d’énergie lors de périodes de faible consommation, comme la nuit.

Le Malawi, l’un des pays les plus pauvres du monde, constitue un exemple frappant d’échec de l’aide. Comme l’a déclaré l’ancien ministre du Développement Rory Stewart lors d’une conférence à Yale, la Grande-Bretagne a donné 4,5 milliards de livres sterling sur un demi-siècle à ce pays d’Afrique australe rongé par la corruption et la mauvaise gouvernance, mais il s’est retrouvé « plus pauvre qu’il ne l’était au début ». .

« Le Bitcoin peut empêcher Bondo de devenir le genre d’éléphant blanc que l’on voit partout en Afrique, construit par des groupes humanitaires puis abandonné », a déclaré Erik Hersman, directeur général de Gridless. Il avoue qu’il n’est « pas un grand fan » du secteur. « Ils arrivent avec des prêts et des subventions à faible coût pour financer tous ces projets qui, selon eux, seront rentables en 30 ans, mais les sommes ne s’additionnent jamais. C’est une nouvelle façon de financer le développement.

Le Malawi démontre également une autre raison pour laquelle il y a un intérêt croissant pour le Bitcoin en Afrique : les gens recherchent un endroit plus sûr pour leur argent que les monnaies locales. Les prix ont fortement augmenté après que la monnaie a été dévaluée il y a deux mois de 44 % par rapport au dollar américain – la deuxième baisse de la valeur du kwacha en 18 mois. De nombreux pays africains du continent ont également souffert d’une inflation catastrophique, alors que les taux de conversion officiels des devises peuvent être nettement inférieurs aux taux pratiqués en vigueur.

Une entrepreneure kenyane m’a dit qu’elle s’était tournée vers la crypto-monnaie après avoir vu ses économies constamment érodées, même dans un pays où l’inflation était inférieure à la moyenne du continent. « J’essayais d’économiser pour acheter une maison, mais mes sommes ne cessaient de diminuer. Je voulais plus de stabilité, alors j’ai essayé Bitcoin, puis j’ai découvert qu’il avait d’autres utilisations », a déclaré Marcel Lorraine, fondateur de Bitcoin DADA. Ses clients comprennent un commerçant de produits de santé alternatifs dans un marché de rue de Nairobi, qui a trouvé cela beaucoup moins cher à utiliser que de changer de monnaie après avoir été initié à ce produit par un client nigérian et qui espère maintenant que cela lui fournira une plate-forme stable pour développer son entreprise afin d’obtenir des produits de santé alternatifs. un magasin.

Alors que Warren Buffet a rejeté Bitcoin comme étant « probablement du mort-aux-rats au carré » et que l’économiste Paul Krugman l’a comparé à une arnaque à la Ponzi alimentée par des fantasmes libertaires et des « bavardages technologiques », les adeptes le voient comme une force libératrice en raison de la conception décentralisée créée par son mystérieux et créateur pseudonyme, Satoshi Nakamoto. BlackRock, le plus grand gestionnaire d’actifs au monde, a même demandé le lancement d’un fonds négocié en bourse Bitcoin qui pourrait ouvrir le marché au secteur américain de la gestion de patrimoine.

Certes, Bitcoin, malgré toutes ses fluctuations, peut sembler relativement fiable si vous vivez en Afrique – ou même dans de nombreuses autres régions de la planète, de l’Argentine au Liban. « C’est ce que j’ai vu partout », a déclaré Peter McCormack, qui parcourt le monde pour un podcast Bitcoin. « Voici une alternative à l’or et à l’immobilier pour une classe moyenne qui a un peu d’argent et de patience, mais qui voit ses dépenses et ses coûts augmenter tandis que l’épargne perd de la valeur. Et une classe moyenne forte contribue à bâtir une économie forte en stimulant les dépenses de consommation, en réduisant la dépendance à l’égard de l’État et en stimulant l’innovation et l’entrepreneuriat.

Bitcoin est également devenu un outil utile pour les militants et les journalistes des dictatures, car il rend beaucoup plus difficile le suivi des fonds. Au Togo, un État d’Afrique de l’Ouest dirigé par une famille despotique depuis 1967, il est utilisé pour acheminer de l’argent vers les dirigeants de l’opposition et de la société civile malgré le gel des comptes bancaires. Bitcoin a joué un rôle déterminant dans l’acheminement de dons à la Fondation anti-corruption d’Alexei Navalny en Russie et aux mouvements pro-démocratie en Biélorussie et au Myanmar.

Alex Gladstein, directeur de la stratégie de la Human Rights Foundation et auteur d’un livre affirmant que Bitcoin offre une liberté face aux systèmes monétaires archaïques et aux conflits politiques, estime que la crypto-monnaie est particulièrement intéressante pour les Africains, car ils subissent « toutes sortes de répression financière ». Il souligne qu’il existe 45 devises sur le continent – dont 15 sont toujours contrôlées par la France – avec des frais de transaction élevés sur les transactions de conversion qui sont en grande partie traitées par des sociétés occidentales avec des taux très fluctuants. « Le Bitcoin offre une échappatoire et une alternative aux Africains, même si son utilisation est moins limitée que certains le pensent », dit-il. « Les entrepreneurs ont compris comment les personnes sans Internet peuvent utiliser Bitcoin, ce qui est franchement remarquable. »

Cette agilité est typique de l’innovation technologique qui explose à travers l’Afrique, portée par une population jeune, en croissance rapide et de plus en plus instruite. « Ce qu’il y a de bien avec Bitcoin, c’est qu’il s’agit d’une technologie ascendante et que son adoption a été réelle à tous les niveaux », a déclaré un personnage clé lors de la deuxième conférence africaine sur le Bitcoin au Ghana à la fin de l’année dernière.

Seul le temps nous dira si l’invention de Satoshi se révélera être une bulle aux conséquences néfastes ou, comme le pensent les optimistes, un moteur de profonds changements dans le monde. La condamnation pour fraude de Sam Bankman-Fried, qui dirigeait l’une des plus grandes bourses de crypto-monnaie au monde, et l’aveu de blanchiment d’argent par le patron d’une autre bourse majeure ont nui à la réputation des crypto-monnaies pour de nombreuses personnes en Occident. Mais Bitcoin semble certainement offrir quelque chose de positif dans les sociétés marquées par l’autocratie, le colonialisme, les coups d’État militaires et une gouvernance lamentable – comme le montrent ces ordinateurs dans un hangar en béton dans la campagne du Malawi qui transforment l’eau en flux d’argent pour financer l’électricité.

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La rotation d’Ethereum commence alors que Solana et Avalanche ralentissent, déclare un analyste

Selon CryptoPotato, le récent mouvement terne des prix d’Ethereum a conduit beaucoup à le qualifier de « mort d’ETH » alors que ses rivaux Solana et Avalanche montaient en flèche. Cependant, l’analyste crypto « Metaquant » a observé que la rotation de la couche 1 au quatrième trimestre était similaire à celle de 2021. Solana et Avalanche ralentissent maintenant après des semaines de hausse des prix, et l’analyste a noté que l’ETH sort des échanges centralisés, et l’activité sur le réseau augmente lentement par rapport aux semaines précédentes. « La rotation des alt L1 vers l’ETH a commencé – la saison des ETH en chaîne s’intensifie. »

Au cours des dix derniers jours, AVAX et SOL se sont refroidis après leurs énormes courses, tandis que l’ETH a évolué de côté sans montrer de signes de faiblesse. L’analyste estime que la prochaine exécution portera probablement sur l’ETH et son écosystème. De plus, l’activité sur les réseaux Ethereum et de couche 2 augmente régulièrement depuis des mois. La valeur totale bloquée dans l’écosystème L2 a atteint un niveau record de 21 milliards de dollars le 4 janvier, selon L2beat. Les adresses actives quotidiennes, les frais de couche 2 et la capitalisation boursière stable de couche 2 ont également augmenté régulièrement. L’analyste prédit qu’une fois que le prix augmentera, tout le monde se tournera à nouveau vers l’ETH et les L2. « Notez qu’il n’y a pas de hausse sans saison ETH en chaîne. Ce n’est donc qu’une question de temps avant que cela ne commence à se produire. »

En outre, le prêteur de crypto-monnaie en difficulté Celsius a annoncé qu’il ne s’engageait pas à ce que l’ETH revienne aux créanciers. Bien que cela puisse entraîner une certaine volatilité à court terme en cas de vente, cela a été considéré comme positif pour les marchés d’Ethereum sans le nuage vampirique de Celsius et ses énormes sacs d’ETH qui pèsent sur eux. Les prix des ETH sont restés stables ce jour-là, à 2 242 $ au moment de la rédaction. Cependant, l’actif est en baisse de 8 % par rapport à son sommet hebdomadaire de 2 434 $ du 2 décembre, alors que les marchés se refroidissent. Ethereum s’est consolidé aux niveaux actuels au cours du mois dernier. Les analystes ont réfléchi aux pics de prix potentiels de l’ETH cette année, certains le voyant atteindre 10 000 $ assez facilement, ce qui n’est que le double de son sommet historique du dernier cycle, au cours duquel il a réalisé un gain de 4 800 $ du creux au sommet.

Avertissement : comprend des opinions de tiers. Il ne s’agit pas d’un conseil financier.

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PERCER LES MYSTÈRES DE LA MALADIE D’ALZHEIMER GRÂCE À L’IA DANS LA RECHERCHE MÉDICALE

À une époque où la lutte contre la maladie d’Alzheimer s’intensifie, une force de changement de paradigme émerge à l’horizon : l’intelligence artificielle (IA) et l’apprentissage automatique. Ne se limitant plus au domaine de la science-fiction, ces puissances technologiques font des vagues dans la communauté scientifique, offrant un aperçu sans précédent des complexités de la maladie d’Alzheimer et au-delà. 

Les méthodes traditionnelles d’identification des risques sont complétées, et dans certains cas remplacées, par les prouesses analytiques de l’IA. Max Kozlov, dans un article récent de Nature, dévoile le potentiel transformateur de l’IA, ouvrant une perspective sur l’avenir des soins de santé et de la compréhension des maladies.

Le pouvoir de l’IA dans la recherche sur la maladie d’Alzheimer

Comme le souligne Kozlov, le mariage de l’IA et de la recherche sur la maladie d’Alzheimer revêt des dimensions multiples. L’une des principales pistes explorées est l’examen minutieux des profils génétiques et des scanners cérébraux, où la finesse analytique de l’IA dépasse l’observation humaine traditionnelle. 

L’approche conventionnelle, bien que précieuse, ne parvient souvent pas à déchiffrer les modèles complexes intégrés dans ces ensembles de données complexes. L’IA entre dans la brèche, dévoilant les dimensions cachées des marqueurs génétiques et de l’activité cérébrale, révolutionnant potentiellement notre compréhension de la maladie d’Alzheimer.

Cette application transformatrice de l’IA va au-delà de la prédiction des prédispositions génétiques ; elle a le potentiel de réorienter les trajectoires de recherche. En découvrant des modèles nuancés qui auraient pu rester insaisissables aux observateurs humains, l’IA devient un catalyseur de découvertes révolutionnaires. Essentiellement, la collaboration entre l’expertise humaine et les algorithmes d’IA améliore non seulement notre compréhension de la maladie d’Alzheimer, mais élargit également la portée de l’enquête sur des facettes jusqu’ici inexplorées des maladies neurodégénératives.

Les prouesses de l’IA dans le domaine de la santé

L’impact transformateur de l’IA s’étend bien au-delà des limites de la recherche sur la maladie d’Alzheimer. Des rapports récents de l’American Journal of Managed Care présentent l’utilisation de l’apprentissage automatique dans la détection des maladies grâce à l’analyse des enregistrements de toux. Pendant ce temps, l’exploration des biobanques par Stanford HAI révèle le développement d’un modèle visant à améliorer l’identification des maladies grâce à une analyse complexe des données.

Les prouesses de l’IA dans le domaine des soins de santé transcendent les limites de conditions spécifiques, fournissant une boîte à outils polyvalente pour la détection des maladies. L’analyse de divers ensembles de données, depuis les signatures acoustiques de la toux jusqu’aux vastes réserves d’informations stockées dans les biobanques, souligne l’adaptabilité et le potentiel de l’IA pour remodeler les diagnostics médicaux. Cela accélère non seulement l’identification des maladies, mais jette également les bases de plans de traitement et d’interventions personnalisés, marquant ainsi un changement de paradigme dans les pratiques de soins de santé.

L’avenir de l’IA dans la recherche médicale

Alors que nous nous trouvons au carrefour de l’innovation technologique et des soins de santé, le voyage vers le territoire inexploré des avancées médicales basées sur l’IA ne fait que commencer. La question se pose : quelles autres frontières attendent d’être explorées dans les années à venir ? La collaboration entre l’intellect humain et l’intelligence artificielle promet de percer les mystères non seulement de la maladie d’Alzheimer, mais aussi de l’ensemble de la santé humaine. Cette synergie pourrait-elle conduire à un avenir où les maladies seraient prédites et prévenues avec une précision sans précédent ? 

La réponse réside dans les chapitres en cours de l’exploration scientifique et de l’intégration technologique. La convergence de l’IA et des soins de santé nous invite vers un avenir où les subtilités du corps et de l’esprit humains seront décryptées avec une précision inégalée. Seul le temps dévoilera toute l’étendue de ce parcours transformateur, mais une chose reste sûre : l’ère de l’IA dans les soins de santé a marqué le début d’une nouvelle aube de possibilités.